Vidéo : L'impact de l'enquête sur le commerce
Saviez-vous pourquoi l'enquête sur la tuberculose bovine n'a pas nui à l'accès au marché pour le bétail et le bœuf canadiens? Cette vidéo explique comment le Canada travaille avec nos partenaires commerciaux.
L'impact de l'enquête sur le commerce – Transcription
Mise en contexte de l'Agence canadienne d'inspection des aliments. Le travail de l'Agence est présenté en images, notamment une boîte de Pétri, des fraises, un plant en croissance, un poulet et une feuille d'érable.
Texte : ACIA - Préserver grâce à la science
Texte : L'impact de l'enquête de la TB sur le commerce.
Interlocuteur : Dr Jaspinder Komal, directeur exécutif et vétérinaire en chef adjoint à la direction santé des animaux de l'Agence canadienne d'inspection des aliments.
Jusqu'à date, nous n'avons eu aucun effets négatifs sur l'accès au marché pour le bétail ou le bœuf canadien. Parce que nous avons une reconnaissance par nos partenaires commerciaux de l'excellence du programme d'éradication de la tuberculose bovine au Canada. Aussi nos mesures d'intervention efficaces permettent que notre statut quant à cette maladie reste inchangé.
Interlocuteur à l'écran : Rob McNabb, directeur général de la Canadian Cattlemen's Association
À ma connaissance, il n'y a eu aucune perturbation du commerce de bovins ou de produits du bœuf avec nos partenaires commerciaux. Alors, vous savez, je ne dis pas qu'il s'agit d'un incident mineur, mais je pense que la réputation de l'Agence canadienne d'inspection des aliments ainsi que celle de l'industrie bovine canadienne est telle que l'enquête suivra son cours et qu'entre-temps, les choses continueront de se dérouler comme d'habitude.
Interlocuteur à l'écran : Dr Jaspinder Komal, directeur exécutif et vétérinaire en chef adjoint à la direction santé des animaux de l'Agence canadienne d'inspection des aliments.
Nos partenaires commerciaux s'attendent à ce que le Canada démontre qu'il a mis en œuvre toutes les mesures fondées sur la science requises pour répondre à la situation actuelle.
À la fin de l'enquête, nous soumettrons un rapport final sur nos mesures d'intervention et sur les étapes suivies pour lutter contre la maladie et l'éradiquer. Ces renseignements seront transmis à l'OMSA, c'est-à-dire l'Organisation mondiale de la santé animale (fondée en tant qu'Office international des épizooties (OIE)), et à nos partenaires commerciaux, tels que les États-Unis.
Mot-symbole « Canada ». Droit d'auteur Sa Majesté la Reine du chef du Canada (Agence canadienne d'inspection des aliments), 2017.
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